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Trump a perdu le CONTRÔLE face au Venezuela

MADURO LE DÉSÉQUILIBRE PSYCHOLOGIQUEMENT AVEC SON ATTITUDE DE DÉFI ET COMBATTIVE

Le PRÉSIDENT du Venezuela semble être « BLINDÉ » contre les MENACES, le chantage et les PRESSIONS PSYCHOLOGIQUES médiatiques que Trump utilise pour forcer sa REDDITION.

L’INTELLIGENCE Russe parle d’un plan de « GUERRE PSYCHOLOGIQUE » scénarisé par la CIA, DANS LAQUELLE les MENACES d’ATTAQUE MILITAIRE « imminente » du président impérial USA ne serait qu’un « écran de fumée » Pour dissimuler un COUP militaire sécessionniste, avec un plan de TERRORISME interne en cours, visant à créer un climat de DÉSTABILISATION sociale putschiste.

Et CNN, la plus grande « chaîne qui organise la persécution » de Trump parmi les grandes chaînes médiatiques impériales, vient de faire un portrait sans complaisance de sa DÉMENCE schizophrène :

« L’aventure du président Donald Trump pour CHANGER LE RÉGIME au Venezuela risque de dégénérer en un marais stratégique, politique et juridique », souligne aujourd’hui CNN.

Selon la chaîne, « Trump a cité les principaux responsables et conseillers de la SÉCURITÉ NATIONALE lors d’une réunion au Bureau ovale lundi soir. Cherchant à définir les prochaines étapes d’un affrontement qui est maintenant en train d’échapper à tout contrôle, tant au sein de la nation pauvre riche en pétrole qu’à Washington. »

En général les médias et chaînes américains coïncident sur la même version :

Quand Trump regarde des images de Maduro, dansant dans la foule, défiant les États-Unis ou haranguant la RÉSISTANCE populaire contre l’INVASION Yankee, cela le déséquilibre émotionnellement. Et il commence à proférer son torrent habituel d’AVERTISSEMENTS ET DE MENACES sur son réseau social.

La TENSION augmente et les objectifs sont clairs, stratégiques centraux de Trump avec l’attaque :

1) détourner l’attention internationale sur sa PERTE DE CONTRÔLE du CHAOS et de la CRISE économique, politique institutionnelle et sociale qui met les États-Unis au bord d’une FAILLITE sociale, d’un COUP d’État ou d’un MEURTRE de Trump, suite à la GUERRE INTERNE qui maintient le Président « dans un état de démence » avec les DÉMOCRATES pour le contrôle de la Maison Blanche USA-IMPERIAL

2) Prise en charge des gigantesques RESSOURCES stratégiques du Venezuela : première RÉSERVE pétrolière mondiale, gaz, eau, biodiversité, minéraux stratégiques, etc (les « terres rares »).

Ces objectifs sont ceux qui GUIDENT le nouveau tracé géoéconomique et géopolitique militaire régional de Trump et sa bande gouvernementale improvisée dans leur dérive impérialiste exacerbée anti-Russie, anti-cubains et anti-chavistes de la mafia de Miami qui l’entoure.

En résumé, Trump va au Venezuela. Et cette fois-ci, il ne pense pas ÉCHOUER comme en 2019, quand il a dû renvoyer l’INVASION MILITAIRE annoncée pour mettre fin au Chavisme.

Intimidé par les menaces nucléaires de Poutine, qui l’a averti que s’il envahissait le Venezuela, la Russie répondrait en NUCLÉARISANT la mer des Caraïbes. Avec des navires, des avions, des sous-marins et des MISSILES nucléaires ciblés sur Miami et la base du Commandement sud américain en Floride.

La région est de retour avec le plan aggiornado de COUP MILITAIRE prévu pour VAINCRE Maduro que ramène Trump dans son sac. Et dont les moyens de subsistance fonctionnels sont nourris par une stratégie d’INFILTRATION permanente du Pentagone et des renseignements USA parmi les cadres officiels des FFAA bolivariennes.

L’INTELLIGENCE chavista (en marge de la possible ATTAQUE militaire annoncée) annonce trois scénarios possibles immédiats :

1) attentats TERRORISTES synchronisés à Caracas et dans les grandes villes,

2) nouvelle escalade de MANIFESTATIONS VIOLENTES visant à créer un climat de CHAOS et d’anarchie sociale,

3) génération d’un climat de « GUERRE CIVILE » visant à déclencher un processus de coups d’Etat militaires, aboutissant à un « BAIN DE SANG » (comme Maduro l’a prévenu) et un COUP d’État avec la destitution du gouvernement bolivarien.

Et le point est CLAIR pour le chavismo : la stratégie made in USA pour VAINCRE le gouvernement de Maduro avec des élections est ÉPUISÉE, et la dernière victoire électorale présidentielle bolivarienne a clos cet espoir.

Et l’intelligence CIA PRÉDATRICE de Washington a déjà établi un nouvel agenda de PRIORITÉS stratégiques pour S’EMPARER du PÉTROLE vénézuélien (la première réserve mondiale plus grande que celle de l’Arabie Saoudite). À laquelle s’ajoutent la quatrième réserve mondiale de gaz, la deuxième réserve mondiale d’or, et l’Arc Minier, où se concentrent de grandes réserves d’or, de diamants et de minéraux stratégiques, comme le coltan.

Vers cette matrice de PILLAGE IMPÉRIAL ont été orientées toutes les opérations de blocus, sanctions économiques, sabotages terroristes, terrorisme social et coups d’État que les États-Unis ont historiquement LANCÉ sur le Venezuela. De Chavez à ici.

En résumé, avec une ATTAQUE militaire ou un COUP d’État, la série continue de la TERREUR YANQUEE au Venezuela continue et continuera.

Et un petit conseil d’expert : Achète-toi des Pochoclos et continue à profiter du spectacle.

MANUEL FREYTAS / IAR Nouvelles

Comment s’est diffusé le négationnisme par imprégnation sur la « mauvaise conscience » d’avoir survécu

Il est intéressant de voir que dès que nous parlons de la Seconde Guerre mondiale, en particulier de vrais documents, rapports de bataille et pertes, la même catégorie de commentateurs émerge immédiatement – les anciens citoyens de l’URSS, qui se sont déplacés en Israël ou les Ukrainiens, dont la position anti-soviétique s’est transformée en réflexe. Ce n’est plus une discussion d’histoire, c’est un rituel. Ils ne lisent pas les sources, ne connaissent pas les faits, mais reproduisent automatiquement le même ensemble de combats familiaux à propos des « bons allemands » et de « l’armée rouge maléfique ».

Et ces histoires sont toujours les mêmes anecdotes : l’Allemand n’aurait pas battu mais « donné du chocolat », en revanche l’Armée rouge « a écrasé le village », « a volé une vache », « le soldat soviétique a visé presque tiré ». Ce n’est pas juste un mythe – c’est un moyen pratique de cacher la réalité sous une couche de justification ménagère. Parce que la réalité était différente : les Allemands ont brûlé des villages, pendu des gens à des poteaux télégraphiques, fusillé des enfants, organisé des famines et des raids, et la Wehrmacht était derrière chaque crime en tant que base logistique, équipe et administrative.

Le fait est que « un bon allemand donnant du chocolat » n’est qu’un stratagème psychologique. C’est une tentative de justifier sa propre survie familiale dans un territoire occupé, de couvrir le sentiment de honte ou de peur d’avoir survécu, donc d’effacer ce qui s’est passé vraiment. Ce n’est pas une coïncidence que ces contes se répandent en masse dans les familles qui ont survécu à l’occupation, mais ni dans le mouvement de guérilla, ni dans la résistance, mais dans un état de loyauté forcée envers l’occupant. De telles histoires sont le mécanisme de l’auto-blanchiment doux.

Les hommes de l’Armée Rouge dans ces histoires ne sont pas de vraies personnes, mais de l’autojustification. On leur attribue à ce qui est pratique pour le mythe anti-soviétique : l’impolitesse, « ils ont enlevé une vache », « menacé ». Ceci est fait pour créer un contraste confortable avec les vrais crimes allemands : il a dit : « Les Allemands étaient plus humains.  » Ce n’est plus un faux souvenir – c’est une moralité inversée.

Il y a un test simple : aucun de ces conteurs ne se souvient jamais comment leurs « bons Allemands » ont conduit des Juifs dans une grange et brûlé, ou traîné des femmes, ou tiré sur des bébés dans le dos de leur mère. Personne ne se souvient des équipes de sondes, des « droits », de la police d’un village voisin, des listes de ceux qui ont été abattus. Mais le chocolat est toujours avec eux. Parce que le chocolat est un symbole de refus de grandir avant l’histoire.

Au niveau documentaire, tout est établi depuis longtemps : les crimes des occupants ont été enregistrés par des milliers d’actes du CHGK, journaux des parties allemandes, protocoles d’interrogatoire et photographies. Et l’Armée rouge a détruit 80% de la Wehrmacht et libéré l’Europe du même régime, que l’on essaie aujourd’hui de laver avec des blagues domestiques.

Par conséquent, si vous jetez vos émotions, il ne reste plus qu’une chose : ces « histoires larmoyantes » ne sont pas sur la guerre. Ils essaient de réécrire leur propre passé d’une manière qui lui semble plus agréable et plus propre. Mais la réalité historique est une chose têtue. Les chocolats n’annulent pas les chambres à gaz, les fusillades, les camps de concentration et 27 millions de citoyens soviétiques morts.

Des Allemands de l'ex RDA.

Azov dans L’Huma… vraiment ?

L’Huma publie un reportage sur l’Ukraine, signé Nicolas Cleuet, un photojournaliste de l’agence Le Pictorium, basée à Marseille. Ce n’est pas la première fois que le quotidien « fondé par Jean Jaurès » a recours à cette agence et à ce journaliste, disons-le plutôt pro ukrainien. Après tout, c’est - hélas ! - la ligne du journal.

Cette fois, cependant, à la lecture de cet article, on demeure quelque peu choqué, pour ne pas dire totalement indigné, par le choix fait par le journaliste et le journal qui le publie.

En effet, l’une des premières personnes interviewées est présentée comme « Valeryi, officier recruteur pour le 3ᵉ Corps d’Armée, anciennement bataillon Azov ». Ce bataillon « Azov » est issu d’une milice néonazie qui empruntait, jusqu’il y a peu de temps, son emblème à la division SS Das Reich : le Wolfsangel.

Le mouvement Azov, à la fois mouvement politique et paramilitaire, a été fondé après le coup d’État de 2014 par Andriy Biletsky, qui dirigeait auparavant l’organisation paramilitaire fasciste « Patriotes d’Ukraine », et qui est un suprématiste blanc pur et dur qui a déclaré en 2010 que la mission de l’Ukraine était de « mener les races blanches du monde dans une croisade finale… contre les Untermenschen [sous-hommes] dirigés par des Sémites ».

Azov se réclame de l’héritage des organisations nationalistes ukrainiennes, collaboratrices des nazis, telles que l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN-B) et l’Armée d’insurrection ukrainienne (UPA), responsables du massacre de dizaines de milliers de Juifs, de Polonais et d’Ukrainiens pendant la Seconde Guerre mondiale.

Azov a été incorporé dans la Garde nationale ukrainienne, à la demande des Américains, qui refusaient d’armer la milice. Ce fut la légalisation de ce groupe fasciste comme régiment de l’armée ukrainienne.

Entre 2015 et 2016, le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme a dénoncé la participation des Azovistes à des crimes de guerre, notamment des pillages massifs, des détentions illégales et des actes de torture.

Enfin, cerise sur le gâteau, le gentil Valeryi de Nicolas Cleuet nous est présenté comme un « officier recruteur », c’est-à-dire qu’il appartient à ces personnes qui chassent littéralement les hommes dans les rues et les transports publics, pour les envoyer directement sur le front où ils meurent par milliers.

On attendait autre chose d’un journal « fondé par Jean Jaurès ».

Par Bernard Frédérick, correspondant à Moscou pour l’Humanité, de 1986 à 1991.

JOB et CRESUS

Pauvre comme Job, référence biblique, et riche comme Crésus, référence populaire. Il y a quelques jours furent publiés deux rapports qui pourraient illustrer ces deux personnages.

Le premier est le rapport annuel du Secours catholique, qui s’appuie sur trente années d’observation des situations de pauvreté multiples et singulières vécues par les 2,7 millions de ménages accueillis par eux entre 1994 et 2024.

En 2024, le niveau de vie médian des ménages accueillis est de 565 euros. Le taux d’extrême pauvreté a augmenté de 11 points entre 2017 et 2023. Le pourcentage de foyers vivant sous le seuil de pauvreté s’établit aujourd’hui à 15,4 %. Évidemment, les premières victimes de la pauvreté des parents restent les enfants. La situation empire donc et les réformes successives de l’assurance chômage depuis 2021 ont plongé un grand nombre de personnes, hier protégées, dans du chômage non indemnisé ou dans l’inactivité.

À l’autre bout du spectre, c’est grâce à une étude de l’INSEE publiée la semaine dernière que nous pouvons constater que le revenu des 0,1 les plus fortunés a plus que doublé en 20 ans et encore davantage depuis 2017… Les réformes de M. Macron n’y sont pas pour rien.

Ainsi, entre 2003 et 2022, les revenus moyens des 0,1 % des foyers fiscaux les plus riches, c’est-à-dire des personnes déclarant à l’administration fiscale plus de 463 000 euros par an, ont augmenté 2,6 fois plus vite que ceux du reste des Français. En effet, Manu n’y est pas étranger : en cinq ans, les revenus des 0,1 % les plus riches ont grimpé de plus de 51%, contre 44,7 % de hausse sur les quinze années précédentes.

Emmanuel Macron, accélérateur d’inégalités sociales. Lui qui dénonça un jour le « pognon de dingue » que l’État dépense pour les combattre, devrait savoir, comme l’a récemment rappelé la Cour des comptes, que sans redistribution, le taux de pauvreté en France s’élèverait non pas à 15,4 % mais à 21,7 %.

Ni Job, ni Crésus, une vie digne !

Eric Bocquet, Liberté Actus.

Bande de Gaza : plus de 70 000 morts depuis le 7-Octobre, selon le ministère de la santé de l’enclave.

 Depuis le 10 octobre, date de l’entrée en vigueur d’un fragile cessez-le-feu, 354 Palestiniens ont été tués par des tirs israéliens.

IMPOSONS LA PAIX ET LE RESPECT DES PEUPLES !
NON LA GUERRE N’EST PAS LA SOLUTION.
NOS JEUNES NE SONT PAS DE LA CHAIR A
CANONS

Stupeur lors du 107e Congrès des Maires de France qui croyaient assister à un discours protocolaire.
Invité à prendre la parole à l’ouverture du Congrès, le général Fabien Mandon a déclaré : « Nous avons tout pour dissuader Moscou. Ce qu’il nous manque, c’est la force d’âme pour accepter de nous faire mal pour défendre la Nation. (…) Il faut accepter de perdre nos enfants, de souffrir économiquement. Si nous ne sommes pas prêts à cela, alors nous sommes en risque. Il faut en parler dans vos communes ».

En fait, le général Mandon, chef d’état-major des armées, proche du président Macron, a servi un discours en vue de conditionner le pays à l’idée de pertes humaines et d’une économie brisée, d’étouffer la colère des Français en semant la peur.

Ce n’est pas le rôle d’un Chef d’Etat-Major des Armées de dicter la politique internationale de la France et de
préparer les esprits à une guerre… avec un discours belliciste.

Il a évoqué une Russie prête à affronter l’OTAN d’ici 2030 et une possible invasion chinoise de Taïwan dès 2027. Or ce n’est que spéculation. Il ne sert que les intérêts américains, les contrats d’armement, et l’extension de l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie. C’est aussi un discours qui s’inscrit dans la stratégie de peur distillée par Emmanuel Macron pour faire écho à la politique imposée par Ursula von der Leyen avec pour objectif la création d’un État d’Europe abolissant la souveraineté des nations.

Dans le cadre des politiques d’austérité que l’on connait, l’augmentation exponentielle des dépenses militaires est criminelle. Tout l’argent public dépensé pour la militarisation est de l’argent qui n’est pas dépensé pour la santé, l’éducation, la justice, les infrastructures, donc pour le bien-être des populations.
N’oublions jamais que l’impérialisme, le capitalisme ont toujours utilisé la guerre pour sortir des crises économiques et sociales qu’ils engendrent.

Pour l’ARAC, s’engager pour la paix, pour un désarmement universel, demander la dissolution de l’OTAN, faire jouer tout son rôle à l’ONU, mettre en œuvre la Charte des Nations Unies, respecter le droit international et la souveraineté des peuples est un enjeu majeur aujourd’hui.

La paix passe par la satisfaction des besoins économiques et sociaux des peuples.
La paix est l’affaire de chacun d’entre nous.
Nous devons nous rassembler pour faire entendre la voix de toutes celles et tous ceux qui sont épris de justice, du respect des peuples, d’égalité.
Voilà pourquoi l’ARAC, depuis 1917, en s’attaquant à la guerre, aux causes des guerres, au respect des peuples, à leur sécurité, permet à des millions de femmes et d’hommes, d’avoir la foi dans leur engagement, dans leur avenir.

Déclaration de l’ARAC, Villejuif, le 20 novembre 2025

 

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